Hé ! L’arche !
Dans mon arche, ils sont venus,
Mais jamais n’y sont parvenu,
Semer la zizanie dans notre monde de vertu,
Elle était là, surveillant tous ses perdus.
Captivant pour éviter l’effroi,
Des cons criminels qui ont jeté un froid,
Mettant à l’affiche des mécréants sans foi,
Qui au monde donne le mal de foie.
Il n’est d’aucune religion,
De tuer ses frères sans notion,
Répandant au monde maintes émotions,
Recherchant en vain une révolution.
De l’univers, elle demande l’unisson,
Pour que liberté résonne d’un seul son,
Pour qu’enfin raisonnent tous ses cons,
Ma colombe de paix s’en vient sans façon.
Elle va, elle vole pour rechercher la paix,
Elle est souvent là inspirant le respect,
Tel un ange, ses ailes en ont l’aspect,
Pour qu’ensemble la vie soit ce que je rêvais.
Dans mon arche, ils sont venus,
Mais jamais n’y sont parvenu,
Semer la zizanie dans notre monde de vertu,
Elle était là, surveillant tous ses perdus.
Captivant pour éviter l’effroi,
Des cons criminels qui ont jeté un froid,
Mettant à l’affiche des mécréants sans foi,
Qui au monde donne le mal de foie.
Il n’est d’aucune religion,
De tuer ses frères sans notion,
Répandant au monde maintes émotions,
Recherchant en vain une révolution.
De l’univers, elle demande l’unisson,
Pour que liberté résonne d’un seul son,
Pour qu’enfin raisonnent tous ses cons,
Ma colombe de paix s’en vient sans façon.
Elle va, elle vole pour rechercher la paix,
Elle est souvent là inspirant le respect,
Tel un ange, ses ailes en ont l’aspect,
Pour qu’ensemble la vie soit ce que je rêvais.