Lilasys... 8,98/10
Attention à la ponctuation !
Fort émouvant, magnifique.
Vraiment très beau, une grande émotion m'a gagnée tout au long
de cet écrit si poétique...Merci.
( ponctuation à revoir )
( entraînant : accent circonflexe)
16 ... Chérir les moments heureux,
Un vieillard, assis devant sa porte, les larmes au cœur
Rêvasse, au temps où jeunesse était à la causette
Les filles valsaient, habillées de leur robe à fleurs
Dans le village tous espéraient, le bal musette
L’accordéon soufflait des airs joyeux et entrainants
Chacun aspirait, la rencontre de l’âme sœur pour mariée
Les flonflons et les serpentins se mêlaient, impertinents
Sur la tonnelle où brillaient des lanternes enrubannés
Et ce fût là, que le vieillard avait cueilli la dame de son cœur
Ils vécurent heureux, pour de longues années de partage
Ils s’aimaient avec leurs souvenirs faits d’orage ou de bonheur
Le vent sème des graines d’amour, pour simple héritage
Le vieillard, s’éclipse entre les arbres et le vieux sentier
Cueillant par ci par là des fleurs parfumées, dites champêtres
Sifflotant, d’un pas lent, le gouvernail vers sa moitié
Là où résident les anges, dans le cimetière des hêtres
Il chemine perdu dans les allées, façonnées de nombreux cailloux
« Comment puis-je manquer le lieu où ma tendre repose ? »
« Oh je crois Alzheimer me guette de son œil jaloux ! »
Il déposa un bouquet fait de mille baisers serré d'un ruban rose
Et c’est ainsi à chaque occasion, aujourd’hui Saint Valentin
Il s’arrache de sa torpeur et va, le pas hésitant vers elle
Il bavarde un long moment et étale, encore son baratin
Le crépuscule sombre le ciel, un jour Auguste rejoindra Isabelle.
*********LILASYS
Attention à la ponctuation !
Fort émouvant, magnifique.
Vraiment très beau, une grande émotion m'a gagnée tout au long
de cet écrit si poétique...Merci.
( ponctuation à revoir )
( entraînant : accent circonflexe)
16 ... Chérir les moments heureux,
Un vieillard, assis devant sa porte, les larmes au cœur
Rêvasse, au temps où jeunesse était à la causette
Les filles valsaient, habillées de leur robe à fleurs
Dans le village tous espéraient, le bal musette
L’accordéon soufflait des airs joyeux et entrainants
Chacun aspirait, la rencontre de l’âme sœur pour mariée
Les flonflons et les serpentins se mêlaient, impertinents
Sur la tonnelle où brillaient des lanternes enrubannés
Et ce fût là, que le vieillard avait cueilli la dame de son cœur
Ils vécurent heureux, pour de longues années de partage
Ils s’aimaient avec leurs souvenirs faits d’orage ou de bonheur
Le vent sème des graines d’amour, pour simple héritage
Le vieillard, s’éclipse entre les arbres et le vieux sentier
Cueillant par ci par là des fleurs parfumées, dites champêtres
Sifflotant, d’un pas lent, le gouvernail vers sa moitié
Là où résident les anges, dans le cimetière des hêtres
Il chemine perdu dans les allées, façonnées de nombreux cailloux
« Comment puis-je manquer le lieu où ma tendre repose ? »
« Oh je crois Alzheimer me guette de son œil jaloux ! »
Il déposa un bouquet fait de mille baisers serré d'un ruban rose
Et c’est ainsi à chaque occasion, aujourd’hui Saint Valentin
Il s’arrache de sa torpeur et va, le pas hésitant vers elle
Il bavarde un long moment et étale, encore son baratin
Le crépuscule sombre le ciel, un jour Auguste rejoindra Isabelle.
*********LILASYS